littérature britannique
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Mon épais de l’été, c’était Le seigneur des anneaux et je ne regrette aucune des 1400 pages que j’ai lues
Longtemps j’ai repoussé le moment de le lire, découragée par les commentaires de ceux qui avaient échoué et moi-même échaudée par mes échecs lorsque je tentais humblement la lecture du Hobbit. Je me disais : « je le lirai un été, quand j’aurai du temps devant moi ». Et cet été fut le bon. Tandis que je naviguais…